photo Festival Chut ! - The George Kaplan Conspiracy en concert gratuit à Marsannay-la-Côte

Festival Chut ! - The George Kaplan Conspiracy en concert gratuit à Marsannay-la-Côte

Marsannay-la-Côte 21160

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The George Kaplan Conspiracy : En empruntant le nom du personnage clef de La Mort aux trousses, The George Kaplan Conspiracy fait un clin d’oeil à Alfred Hitchcock. Ce n’est pas Cary Grant qui se cache derrière un curieux complot mais bien le duo français mené par Gabriel Afathi et Bastien Francoulon. The George Kaplan Conspiracy délivre une pop électronique à la fois subtile et exaltante avec leurs structures minimales, leurs boites à rythmes dansantes, leurs guitares réverbérées et une voix unique. Rendez-vous le 16 juin à 19h devant la Médiathèque de Marsannay-la-Côte place Schweich An Der Mosel (ou à la Médiathèque en cas de mauvais temps) 03 80 59 64 72 Retrouvez également : - L'exposition "Les bandes dessinées sont l'autre nom du rock'n'roll", du 1er au 30 juin à la Médiathèque ; - Une sélection de CD "Le rock des années 70 et 80", du 4 mai au 30 juin à la Médiathèque ; - L'atelier musical numérique Makey-Makey, le 9 juin à 15 à la Médiathèque ; - En première partie, AMAE, en partenariat avec le Centre Musical de Marsannay, le 16 juin à 18h devant la Médiathèque. À travers le festival CHUT !, la Médiathèque Côte-d’Or, fer de lance de la lecture publique du Département,[...]

photo Projection - Dimanche, suivi de Les hommes le dimanche

Projection - Dimanche, suivi de Les hommes le dimanche

Cinéma

Metz 57000

Le 25/06/2025

Dimanche, Edmond Bernhard, 1963, Belgique Les loisirs dans une grande ville. Quoi de plus ennuyeux ? Regardez ces tables désertes aux terrasses des cafés, ou ces enfants qui jouent à cache-cache en haut d'un immeuble en construction. Le spectateur est pris dans le tourbillon de l'ennui ordinaire. Les hommes le dimanche, Robert Siodmak, Edgar G. Ulmer, 1929, Allemagne La journée de congé de quelques Berlinois. Œuvre de jeunesse de futurs talents d'Hollywood, "Les Hommes le dimanche" n'en est pas moins un film notable du cinéma réaliste allemand. Cette chronique est une peinture réaliste, sensible et féroce, de la vie de cinq jeunes citadins. La grâce et la finesse des scènes prises sur le vif - quiétude des parcs, sieste, rues désertes, linge qui sèche aux fenêtres - soulignent tout autant la rêverie, la sensualité, l'enchantement qu'offre le temps suspendu, que la vacuité sociale et urbaine, la pauvreté, le désenchantement et le pessimisme attenant. Le film préfigure le néoréalisme et la Nouvelle Vague par son intention de se distinguer du cinéma existant, et d'aborder la réalité dans ce qu'elle a de plus banal. Le budget est dérisoire, le film est tourné en décors[...]